☆- Trilogie d'une nuit d'hiver, tome 1-☆
☆- L'ours et le rossignol -☆
Au plus froid de l'hiver, Vassia adore par-dessus tout écouter, avec ses frères et sa soeur, les contes de Dounia, la vieille servante. Et plus particulièrement celui de Gel, ou Morozko, le démon aux yeux bleus, le roi de l'hiver. Mais, pour Vassia, ces histoires sont bien plus que cela. En effet, elle est la seule de la fratrie à voir les esprits protecteurs de la maison, à entendre l'appel insistant des sombres forces nichées au plus profond de la forêt. Ce qui n'est pas du goût de la nouvelle femme de son père, dévote acharnée, bien décidée à éradiquer de son foyer les superstitions ancestrales. Inspiré de contes russes, L'Ours et le Rossignol a su en garder toute la poésie et la sombre cruauté. C'est le premier roman de Katherine Arden.
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Mon avis :
Vassia est une jeune fille qui va évoluer au fur et à mesure de notre lecture. On va apprendre à la connaitre de son enfance à son adolescence. Malheureusement cette dernière est assez mal vue par le village où elle vit avec son père, sa belle-mère, sa demi-sœur et son frère. On va la traiter de sale sorcière car elle est différente et rien ne s'arrange quand arrive un nouveau prête dans le village.
J'ai pas mal apprécié ma lecture mais sans plus. Vassia est très courageuse et très mature pour son âge, ce qui aurait pu beaucoup me plaire, mais malheureusement ça ne l'a pas fait. La plume de l'autrice est assez complexe donc je ne conseille pas aux personnes qui commencent du fantastique/historique.
J'ai eu beaucoup de mal à rentrer dans l'histoire tellement j'étais perturbée par la plume et l'univers très riche. Il faut avoir le cœur bien accroché car ce n'est pas évident de lire certains passages qui sont très glauques. C'était assez dérangeant en soi. Je n'étais pas à mon aise.
Je ne lirai pas la suite car je ne sens pas l'envie de le découvrir. Puis la fin de ce premier tome me convient parfaitement, je suis plutôt conquise. Après si vous avez bien aimé ce premier tome, la suite pourrait vous plaire, mais moi je passe mon chemin sans regret.
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